Pas de science sans philosophie ?
On comprendra vite, à la lecture de L’universel dans les sciences morales, que la disparition de Theodor Litt (1880-1962) ait été ressentie comme la perte d’un grand pédagogue. Mais l’oubli relatif dont ...
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Elle est assistante en sciences politiques à l’Université libre de Bruxelles. Ses recherches ont trait à l’épistémologie des sciences sociales et à la sociologie historique du politique. Elle termine une thèse de doctorat consacrée à la théorie du procès de civilisation de Norbert Elias (1897-1990), son actualité pour penser l’État, ses enjeux méthodologiques. Elle a notamment publié : « Sur Norbert Elias : Engagement et distanciation » (Revue de l’Institut de sociologie, Bruxelles, 2000/1-4) ; « Elias et l’intégration postnationale » (Revue suisse de science politique, vol. 8 n° 1/2002) ; « Max Weber : comprendre et expliquer » (in N. Zaccaï-Reyners, Explication et compréhension, Éd. de l’Université de Bruxelles, 2003). À paraître en 2005 : « Elias et l’Allemagne nazie » (Studia Politica, Université de Bucarest) ; « Procès de civilisation et démocratie (post)nationale » (in F. Cheneval, Legitimationsgrundlagen der Europäischen Union, Lit-Verlag, Potsdam).
On comprendra vite, à la lecture de L’universel dans les sciences morales, que la disparition de Theodor Litt (1880-1962) ait été ressentie comme la perte d’un grand pédagogue. Mais l’oubli relatif dont ...